Mais aucune n’a donc été décidée, en dépit du fait que certains pays, tels le Niger ou la Guinée-Bissau, se disaient prêts à suivre la Côte d’Ivoire si celle-ci les exigeait. Le Mali et la Côte d’Ivoire sont en effet engagés dans un bras de fer dans ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire des 49 soldats ivoiriens.
À New York la Cedeao a, pour la première fois, demandé « la libération immédiate et sans condition » des militaires retenus depuis plus de deux mois, soutenant ainsi pleinement la Côte d’Ivoire qui déplore une affaire « ubuesque », selon le terme d’un proche du président Alassane Ouattara. Bamako accuse ces soldats venus en appui à la mission des Nations unies d’être des « mercenaires ».
À New York la Cedeao a, pour la première fois, demandé « la libération immédiate et sans condition » des militaires retenus depuis plus de deux mois, soutenant ainsi pleinement la Côte d’Ivoire qui déplore une affaire « ubuesque », selon le terme d’un proche du président Alassane Ouattara. Bamako accuse ces soldats venus en appui à la mission des Nations unies d’être des « mercenaires ».