l'Etat d'urgence n'a pas touché seulement les secteurs économiques de notre pays. Les couches vulnérables souffrent aussi de ces mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre le coronavirus. Selon Alassane Badiane, " beaucoup de personnes handicapées qui menaient des activités génératrices de revenus sont depuis lors, restées chez elles. A cause du couvre feu, elles ne peuvent pas jouir pleinement de leur temps pour faire convenablement leur travail. Car, beaucoup sont sur des chaises roulantes".
En outre, poursuit le président de l'Union régionale des handicapés, " on avait un formateur qui était venu de l'Espagne pour former les femmes handicapées en savonnerie. Mais malheureusement, il est rentré à cause du covid-19".
Aujourd'hui, laisse entendre M. Badiane "les handicapés sont laissés en rade voire oubliés dans l'élan de solidarité. On entend toujours de bonnes volontés qui donnent des dons, mais malheureusement, aucune aide n'est parvenue aux handicapés", dénonce Alassane Badiane, président de l'Union régionale des personnes handicapées de Ziguinchor.
a redaction
En outre, poursuit le président de l'Union régionale des handicapés, " on avait un formateur qui était venu de l'Espagne pour former les femmes handicapées en savonnerie. Mais malheureusement, il est rentré à cause du covid-19".
Aujourd'hui, laisse entendre M. Badiane "les handicapés sont laissés en rade voire oubliés dans l'élan de solidarité. On entend toujours de bonnes volontés qui donnent des dons, mais malheureusement, aucune aide n'est parvenue aux handicapés", dénonce Alassane Badiane, président de l'Union régionale des personnes handicapées de Ziguinchor.
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