«Au Nigeria, la barre est haut en matière d’investissement et de complexité du marché », regrette Vivek Badrinath. L’ancien d’Orange et d’Accor s’apprête, trois ans après sa prise de fonctions, à quitter la direction « reste du monde » (Afrique, Moyen-Orient et Asie-Pacifique) du colosse britannique Vodafone pour diriger sa filiale européenne de gestion de tours de télécoms. Pendant son mandat, une occasion unique s’est offerte dans la première économie du continent : la revente de 9mobile,