S’exprimant devant les populations, le Chef de l’État est revenu sur les réalisations majeures de PROVALE-CV, conduites sous l’encadrement du ministère de l’Agriculture, de la Sécurité alimentaire et de l’Élevage.
« La majeure partie des travaux réalisés a permis la construction d’une digue d’une longueur totale de 22 kilomètres. À Koubalan, il s’agit d’un double tronçon de 9 kilomètres, qui a permis de récupérer 550 hectares de terres affectées par la salinisation et devenues impropres à l’agriculture », a expliqué le Président.
Selon Bassirou Diomaye Faye, l’impact de cette réalisation est considérable pour les communautés locales, dont l’économie repose essentiellement sur l’agriculture, notamment la riziculture.
« Récupérer 550 hectares, c’est un impact énorme pour des populations qui vivent principalement de l’agriculture. Ces terres, autrefois perdues, redeviennent aujourd’hui productives », a-t-il souligné.
Au-delà des infrastructures hydrauliques, le Président a insisté sur la dimension intégrée du projet, combinant aménagements agricoles, protection de l’environnement et structuration sociale.
« Le projet et le ministère ont fait œuvre d’ingénierie en expliquant et en valorisant les potentialités de la zone. Nous avons travaillé sur la mangrove, avec l’implantation de bûches, développé l’élevage et engagé un processus d’encadrement des populations vers une meilleure organisation », a-t-il déclaré.
Pour le Chef de l’État, l’avenir de ces territoires repose sur la capacité des communautés à se structurer durablement.
« Si les populations et les agriculteurs sont organisés, renforcés en moyens et accompagnés de manière adéquate, la productivité de la zone sera considérablement boostée. Cela nous permettra de dégager des marges importantes et de générer une épargne significative pour les communautés », a-t-il affirmé.
Concluant son intervention, le Président Bassirou Diomaye Faye a réaffirmé son attachement personnel à ce type de projets structurants.
« C’est l’un des projets qui me tiennent particulièrement à cœur, parce qu’il combine développement économique, protection de l’environnement et amélioration durable des conditions de vie des populations », a-t-il conclu.
Samboudiang SAKHO / casa24
« La majeure partie des travaux réalisés a permis la construction d’une digue d’une longueur totale de 22 kilomètres. À Koubalan, il s’agit d’un double tronçon de 9 kilomètres, qui a permis de récupérer 550 hectares de terres affectées par la salinisation et devenues impropres à l’agriculture », a expliqué le Président.
Selon Bassirou Diomaye Faye, l’impact de cette réalisation est considérable pour les communautés locales, dont l’économie repose essentiellement sur l’agriculture, notamment la riziculture.
« Récupérer 550 hectares, c’est un impact énorme pour des populations qui vivent principalement de l’agriculture. Ces terres, autrefois perdues, redeviennent aujourd’hui productives », a-t-il souligné.
Au-delà des infrastructures hydrauliques, le Président a insisté sur la dimension intégrée du projet, combinant aménagements agricoles, protection de l’environnement et structuration sociale.
« Le projet et le ministère ont fait œuvre d’ingénierie en expliquant et en valorisant les potentialités de la zone. Nous avons travaillé sur la mangrove, avec l’implantation de bûches, développé l’élevage et engagé un processus d’encadrement des populations vers une meilleure organisation », a-t-il déclaré.
Pour le Chef de l’État, l’avenir de ces territoires repose sur la capacité des communautés à se structurer durablement.
« Si les populations et les agriculteurs sont organisés, renforcés en moyens et accompagnés de manière adéquate, la productivité de la zone sera considérablement boostée. Cela nous permettra de dégager des marges importantes et de générer une épargne significative pour les communautés », a-t-il affirmé.
Concluant son intervention, le Président Bassirou Diomaye Faye a réaffirmé son attachement personnel à ce type de projets structurants.
« C’est l’un des projets qui me tiennent particulièrement à cœur, parce qu’il combine développement économique, protection de l’environnement et amélioration durable des conditions de vie des populations », a-t-il conclu.
Samboudiang SAKHO / casa24
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