
"Des éléments de la gendarmerie sont venus nous retrouver chez le curé en nous disant que nous n'avions pas le droit de nous réunir sans autorisation. Ils nous ont demandé de quitter les lieux. C'est au moment où nous partions qu'ils nous ont poursuivis à hauteur de la gendarmerie. Finalement, on nous a poursuivi avec des jets de lacrymogènes", explique un militant.