Candidat aux prochaines élections législatives du 31 juillet 2022, Thierno Bocoum compte apporter des changements majeurs à l’Hémicycle, en y évoquant des questions centrales, en dehors des rôles fondamentaux de contrôle de l’action gouvernementale, de l’évaluation des politiques publiques et du vote des lois.
"Nous proposerons, entre autres, une loi référendaire d’autodétermination, notamment sur la question de l’homosexualité qui agite l’espace public, pour contourner toute confiscation de la volonté populaire par des représentants du peuple", a-t-il déclaré ce lundi, lors d’une conférence de presse.
Car, pour lui, "l’homosexualité est un phénomène international qu’il ne faudra ni ignorer ni négliger".
M. Bocoum est d’avis qu’"en tant que peuple qui a droit à l’autodétermination, nous devons nous prononcer directement sur la question de cet agenda international sous forme d’idéologie politique qui ne se limite pas à vulgariser l’homosexualité sous toutes ses formes, mais aussi de faire accepter des pratiques comme le mariage homosexuel dont le corollaire est l’autorisation de la PMA (procréation médicalement assistée) et de la GPA (gestation pour autrui) aux couples homoparentaux".
Mieux, le leader d’AGIR jure d’arrêter cet agenda contraire à nos valeurs et coutumes, à travers des dispositions claires adoptées dans notre Constitution.
"Nous proposerons, entre autres, une loi référendaire d’autodétermination, notamment sur la question de l’homosexualité qui agite l’espace public, pour contourner toute confiscation de la volonté populaire par des représentants du peuple", a-t-il déclaré ce lundi, lors d’une conférence de presse.
Car, pour lui, "l’homosexualité est un phénomène international qu’il ne faudra ni ignorer ni négliger".
M. Bocoum est d’avis qu’"en tant que peuple qui a droit à l’autodétermination, nous devons nous prononcer directement sur la question de cet agenda international sous forme d’idéologie politique qui ne se limite pas à vulgariser l’homosexualité sous toutes ses formes, mais aussi de faire accepter des pratiques comme le mariage homosexuel dont le corollaire est l’autorisation de la PMA (procréation médicalement assistée) et de la GPA (gestation pour autrui) aux couples homoparentaux".
Mieux, le leader d’AGIR jure d’arrêter cet agenda contraire à nos valeurs et coutumes, à travers des dispositions claires adoptées dans notre Constitution.