« En tant que femme, je salue le vote de cette loi. Mais je trouve que la loi a été votée avec beaucoup d’émotion. Elle a été votée dans la précipitation. Je pense que les magistrats devaient être impliqués dans le vote de cette loi, notamment pour les mécanismes de suivi. Aujourd’hui, il y a des problèmes d’applicabilité qui se posent. On ne vote pas une loi, simplement pour la voter, mais pour l’appliquer », a dit Hélène Tine