Véritable levier de développement, de cohésion territoriale et d’intégration sous-régionale, cette route vise à désenclaver une zone longtemps confrontée à des difficultés de mobilité, tout en renforçant les échanges économiques avec la Guinée-Bissau.
Présent à la cérémonie, Serge Diatta, coordonnateur du projet, a salué l’importance symbolique et stratégique de ce chantier.
« C’est d’abord un honneur pour nous de recevoir le Président de la République à Sainte-Anne-de-Mont-de-Jacques, d’autant plus qu’il s’agit du premier projet routier lancé sous son magistère. Sa présence ici marque un moment important, et nous sommes honorés d’en être les témoins aujourd’hui », a-t-il déclaré.
Il a ensuite précisé la portée technique du projet :
« Le projet porte sur l’aménagement routier de l’axe reliant Saint-Ginéry à la frontière avec la Guinée-Bissau, sur un linéaire total de 26 kilomètres. Mais au-delà de la route elle-même, ce programme intègre de nombreux aménagements structurants à caractère socio-économique ».
Selon lui, ces aménagements vont profondément transformer le quotidien des populations locales :
« Il s’agit notamment de la construction de salles de classe, de pistes de production, de forages, ainsi que d’autres infrastructures communautaires essentielles. Par ailleurs, près de 60 kilomètres de pistes rurales seront réalisés afin de désenclaver les villages riverains et faciliter la mobilité des populations locales ».
Sur le plan financier, Serge Diatta a indiqué que « le coût global du projet est estimé à 23 milliards de francs CFA, financés par l’État du Sénégal avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD) ».
Il a enfin insisté sur l’impact socio-économique attendu :
« La zone souffre d’un manque criant de pistes praticables. L’aménagement de ces infrastructures permettra une évacuation rapide des produits agricoles, améliorera l’accès aux structures de santé et contribuera de manière significative au développement du transport, de la mobilité et des conditions de vie des populations ».
À terme, la route Sandiniéri–Tanaff–Frontière Guinée-Bissau devrait jouer un rôle déterminant dans le désenclavement de la Casamance, le renforcement des échanges transfrontaliers et la promotion d’un développement local inclusif, conformément à la vision des autorités étatiques.
Présent à la cérémonie, Serge Diatta, coordonnateur du projet, a salué l’importance symbolique et stratégique de ce chantier.
« C’est d’abord un honneur pour nous de recevoir le Président de la République à Sainte-Anne-de-Mont-de-Jacques, d’autant plus qu’il s’agit du premier projet routier lancé sous son magistère. Sa présence ici marque un moment important, et nous sommes honorés d’en être les témoins aujourd’hui », a-t-il déclaré.
Il a ensuite précisé la portée technique du projet :
« Le projet porte sur l’aménagement routier de l’axe reliant Saint-Ginéry à la frontière avec la Guinée-Bissau, sur un linéaire total de 26 kilomètres. Mais au-delà de la route elle-même, ce programme intègre de nombreux aménagements structurants à caractère socio-économique ».
Selon lui, ces aménagements vont profondément transformer le quotidien des populations locales :
« Il s’agit notamment de la construction de salles de classe, de pistes de production, de forages, ainsi que d’autres infrastructures communautaires essentielles. Par ailleurs, près de 60 kilomètres de pistes rurales seront réalisés afin de désenclaver les villages riverains et faciliter la mobilité des populations locales ».
Sur le plan financier, Serge Diatta a indiqué que « le coût global du projet est estimé à 23 milliards de francs CFA, financés par l’État du Sénégal avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD) ».
Il a enfin insisté sur l’impact socio-économique attendu :
« La zone souffre d’un manque criant de pistes praticables. L’aménagement de ces infrastructures permettra une évacuation rapide des produits agricoles, améliorera l’accès aux structures de santé et contribuera de manière significative au développement du transport, de la mobilité et des conditions de vie des populations ».
À terme, la route Sandiniéri–Tanaff–Frontière Guinée-Bissau devrait jouer un rôle déterminant dans le désenclavement de la Casamance, le renforcement des échanges transfrontaliers et la promotion d’un développement local inclusif, conformément à la vision des autorités étatiques.