Pour la commune de Mlomp, le budget prévu s’élève à 598 millions de francs CFA, en nette hausse par rapport à l’année précédente. Une progression que le maire met en lien avec la volonté de renforcer les infrastructures et les services locaux.
« La venue du Président de la République dans une région permet de tenir le processus de développement, selon les promesses données par le Premier ministre et le gouvernement. Aujourd’hui, c’est le Président lui-même qui va réunir tous ces engagements pour définir les activités de développement et faire des promesses à la population de la Casamance, mais aussi à celle du Sénégal », a déclaré Papis Ansoumana Diémé.
Il a toutefois tenu à attirer l’attention sur un point important concernant le Plan pour la Casamance : « L’attention est souvent focalisée uniquement sur les villages directement touchés par la crise. Or, il faut rappeler que cette crise a impacté toute la Casamance. Certes, dans certaines localités, nous n’avons pas connu la présence de mines, mais nous avons néanmoins constaté le retour de personnes qui vivaient dans le maquis et qui, aujourd’hui, sont revenues s’installer parmi nous. »
Pour le maire, l’insertion de ces populations de retour est une priorité essentielle. « Il est indispensable de prendre en compte l’emploi et les infrastructures nécessaires pour assurer une prise en charge efficace de ces populations. Elles doivent pouvoir accéder à un travail, à une activité génératrice de revenus, afin de tourner définitivement la page des événements survenus il y a dix ou quinze ans », a-t-il ajouté.
Selon lui, le Plan Diomaye ne doit pas se limiter aux communes directement touchées par la crise. Il doit être global, inclusif et concerner l’ensemble de la Casamance, pour que toutes les populations puissent bénéficier d’un développement équitable.
« La venue du Président de la République dans une région permet de tenir le processus de développement, selon les promesses données par le Premier ministre et le gouvernement. Aujourd’hui, c’est le Président lui-même qui va réunir tous ces engagements pour définir les activités de développement et faire des promesses à la population de la Casamance, mais aussi à celle du Sénégal », a déclaré Papis Ansoumana Diémé.
Il a toutefois tenu à attirer l’attention sur un point important concernant le Plan pour la Casamance : « L’attention est souvent focalisée uniquement sur les villages directement touchés par la crise. Or, il faut rappeler que cette crise a impacté toute la Casamance. Certes, dans certaines localités, nous n’avons pas connu la présence de mines, mais nous avons néanmoins constaté le retour de personnes qui vivaient dans le maquis et qui, aujourd’hui, sont revenues s’installer parmi nous. »
Pour le maire, l’insertion de ces populations de retour est une priorité essentielle. « Il est indispensable de prendre en compte l’emploi et les infrastructures nécessaires pour assurer une prise en charge efficace de ces populations. Elles doivent pouvoir accéder à un travail, à une activité génératrice de revenus, afin de tourner définitivement la page des événements survenus il y a dix ou quinze ans », a-t-il ajouté.
Selon lui, le Plan Diomaye ne doit pas se limiter aux communes directement touchées par la crise. Il doit être global, inclusif et concerner l’ensemble de la Casamance, pour que toutes les populations puissent bénéficier d’un développement équitable.