BIGNONA – Ce mercredi 24 décembre 2025, une page sombre de l'histoire sécuritaire de Bignona se tourne. En pleine tournée économique du Président Bassirou Diomaye Faye, l’inauguration du nouveau Commissariat urbain sonne comme un coup de tonnerre : la récréation est terminée pour les trafiquants et autres délinquants, et le droit au sommeil tranquille est enfin restitué aux citoyens.
Il est 16 heures précises lorsque Monsieur Mouhamadou Bamba CISSE, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique
, coupe le ruban symbolique. À ses côtés, le maire de Bignona, Bacary Diatta, et l'honorable député Bakary Diédiou ne cachent pas leur soulagement. Ce bâtiment moderne n'est pas qu'une simple infrastructure administrative ; c’est une « vieille relance », un rêve de sécurité attendu depuis des décennies qui devient enfin réalité. « C’est un joyau qui respecte les standards des droits de l'homme, avec des cellules aménagées, car notre gouvernance veut marier sécurité et respect des libertés », a martelé Monsieur Mouhamadou Bamba CISSE, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique
.
L'intervention de l'honorable député Bakary Diédiou a marqué les esprits par sa franchise brutale. Pour lui, l'arrivée de la police divise désormais Bignona en deux catégories : Les citoyens honnêtes, qui vont enfin « dormir tranquillement » et Les hors-la-loi, pour qui les nuits blanches commencent. « Ceux qui sont dans des activités prohibées ne pourront plus dormir. Le camp qui se sent menacé doit revenir à la raison pour s'intégrer à la société », a prévenu le parlementaire.
Le maire Bacary Diatta a dressé un portrait sans concession de l'insécurité galopante : agressions à main armée, vols de motos Jakarta et cambriolages. Mais le défi est aussi transfrontalier. Situé à la lisière de la Gambie, le département subissait jusqu'ici : La coupe abusive de bois qui saigne la forêt casamançaise et Le trafic de stupéfiants (culture et acheminement de chanvre indien).
Désormais, le commissariat servira de « dispositif tampon ». Avec des patrouilles aux entrées et sorties de la ville, la police promet de briser les routes du trafic illicite qui asphyxiaient l'économie légale.
La sécurité ne sera pas l'affaire des seuls uniformes. Un appel vibrant à la participation citoyenne a été lancé. L'idée ? Un "marketing de proximité" où les forces de l'ordre, formées à l'accueil et au dialogue, collaborent main dans la main avec la population. Le rôle du citoyen : Signaler toute présence douteuse ou activité illicite et L'engagement de l'État : Poursuivre la densification sécuritaire avec l'érection prochaine d'une caserne de sapeurs-pompiers, une autre doléance forte du maire.
Cette inauguration n'est qu'une étape. Mouhamadou Bamba CISSE, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a confirmé que ce déploiement s'inscrit dans l'Agenda National de Transformation Sénégal 2050. Après Bignona, d'autres centres urbains comme Touba verront sortir de terre des infrastructures similaires. Une présence policière permanente pour que plus aucun citoyen de Bignona ne se sente abandonné face à la violence. Le message est passé : l'État a repris les clés de la ville.
Il est 16 heures précises lorsque Monsieur Mouhamadou Bamba CISSE, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique
, coupe le ruban symbolique. À ses côtés, le maire de Bignona, Bacary Diatta, et l'honorable député Bakary Diédiou ne cachent pas leur soulagement. Ce bâtiment moderne n'est pas qu'une simple infrastructure administrative ; c’est une « vieille relance », un rêve de sécurité attendu depuis des décennies qui devient enfin réalité. « C’est un joyau qui respecte les standards des droits de l'homme, avec des cellules aménagées, car notre gouvernance veut marier sécurité et respect des libertés », a martelé Monsieur Mouhamadou Bamba CISSE, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique
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L'intervention de l'honorable député Bakary Diédiou a marqué les esprits par sa franchise brutale. Pour lui, l'arrivée de la police divise désormais Bignona en deux catégories : Les citoyens honnêtes, qui vont enfin « dormir tranquillement » et Les hors-la-loi, pour qui les nuits blanches commencent. « Ceux qui sont dans des activités prohibées ne pourront plus dormir. Le camp qui se sent menacé doit revenir à la raison pour s'intégrer à la société », a prévenu le parlementaire.
Le maire Bacary Diatta a dressé un portrait sans concession de l'insécurité galopante : agressions à main armée, vols de motos Jakarta et cambriolages. Mais le défi est aussi transfrontalier. Situé à la lisière de la Gambie, le département subissait jusqu'ici : La coupe abusive de bois qui saigne la forêt casamançaise et Le trafic de stupéfiants (culture et acheminement de chanvre indien).
Désormais, le commissariat servira de « dispositif tampon ». Avec des patrouilles aux entrées et sorties de la ville, la police promet de briser les routes du trafic illicite qui asphyxiaient l'économie légale.
La sécurité ne sera pas l'affaire des seuls uniformes. Un appel vibrant à la participation citoyenne a été lancé. L'idée ? Un "marketing de proximité" où les forces de l'ordre, formées à l'accueil et au dialogue, collaborent main dans la main avec la population. Le rôle du citoyen : Signaler toute présence douteuse ou activité illicite et L'engagement de l'État : Poursuivre la densification sécuritaire avec l'érection prochaine d'une caserne de sapeurs-pompiers, une autre doléance forte du maire.
Cette inauguration n'est qu'une étape. Mouhamadou Bamba CISSE, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a confirmé que ce déploiement s'inscrit dans l'Agenda National de Transformation Sénégal 2050. Après Bignona, d'autres centres urbains comme Touba verront sortir de terre des infrastructures similaires. Une présence policière permanente pour que plus aucun citoyen de Bignona ne se sente abandonné face à la violence. Le message est passé : l'État a repris les clés de la ville.