Selon le secrétaire national chargé des relations avec les institutions internationales du Saems, le 02 juin, est une date qu’on a prise juste pour montrer une volonté manifeste du gouvernement pour la reprise des cours. Pour Demba Thiam, son syndicat le Saems est entrain de suivre de prés l’évolution de la pandémie dans notre pays. Et, ajoute t il, il ne sera pas question d’exposer leurs militants au coronavirus alors que la situation virologique n’est pas maitrisée.
Interpellé sur la pluviométrie et la présence des abris provisoires en Casamance, Demba Thiam ne trouve pas de difficultés quand à la bonne tenue des cours et rassure.
« S’il ne s’agit que de la météo, il n y a pas de problème. Les cours peuvent se dérouler, parce qu’en réalité, ce n’est pas la première fois que les enseignants travaillent jusqu’au moi d’aout », a-t-il expliqué en rappelant, qu’en 2012, le baccalauréat s’est déroulé le 12 aout, et en 1987, le bac a été tenu au mois de septembre.
M. Thiam de faire savoir que s’il s’agit seulement des problèmes météorologiques en Casamance, il n y aura pas de problème pour que les enseignements apprentissage se déroulent normalement. Mais, le seul hic du Saems, c’est la situation pandémique du Sénégal d’ici cette date maintenue pour la reprise des cours.
« On ne sait pas pour le moment si la situation sera stable permettant les enseignants d’aller travailler. D’ici là, s’il y a zéro cas, dans beaucoup de localités, je ne vois pas pourquoi, nous n’allons pas reprendre le chemin des classes », a-t-il dit, tout en estimant encore une fois que la pluie ne doit pas être un obstacle pour le système scolaire en Casamance .
« Dans plusieurs pays de la sous région, les examens se passent souvent en plein hivernage. Je ne vois pas pourquoi, au Sénégal le problème va se poser. On a longtemps travaillé pendant la saison des pluies. Ce que nous souhaitons, c’est l’éradication totale de ce coronavirus pour que la vie reprenne son cours normal et les enseignements apprentissage se passent comme il se doit », a laissé Demba Thiam. Qui ajoute, que tout dépendra de la situation pandémique.
« S’il y a beaucoup de cas issus de transmissions communautaires, je ne pense pas qu’on peut travailler dans ces conditions. Mais, si tout est devenu normal, on va rejoindre les salles de classes. Il y a beaucoup de propositions qui ont été faites par les inspecteurs et syndicalistes. De toute façon, on attend le 02 juin pour voir la suite à donner pour sauver l’année scolaire », a expliqué le secrétaire national chargé des relations avec les institutions internationales du Saems.
la redaction
Interpellé sur la pluviométrie et la présence des abris provisoires en Casamance, Demba Thiam ne trouve pas de difficultés quand à la bonne tenue des cours et rassure.
« S’il ne s’agit que de la météo, il n y a pas de problème. Les cours peuvent se dérouler, parce qu’en réalité, ce n’est pas la première fois que les enseignants travaillent jusqu’au moi d’aout », a-t-il expliqué en rappelant, qu’en 2012, le baccalauréat s’est déroulé le 12 aout, et en 1987, le bac a été tenu au mois de septembre.
M. Thiam de faire savoir que s’il s’agit seulement des problèmes météorologiques en Casamance, il n y aura pas de problème pour que les enseignements apprentissage se déroulent normalement. Mais, le seul hic du Saems, c’est la situation pandémique du Sénégal d’ici cette date maintenue pour la reprise des cours.
« On ne sait pas pour le moment si la situation sera stable permettant les enseignants d’aller travailler. D’ici là, s’il y a zéro cas, dans beaucoup de localités, je ne vois pas pourquoi, nous n’allons pas reprendre le chemin des classes », a-t-il dit, tout en estimant encore une fois que la pluie ne doit pas être un obstacle pour le système scolaire en Casamance .
« Dans plusieurs pays de la sous région, les examens se passent souvent en plein hivernage. Je ne vois pas pourquoi, au Sénégal le problème va se poser. On a longtemps travaillé pendant la saison des pluies. Ce que nous souhaitons, c’est l’éradication totale de ce coronavirus pour que la vie reprenne son cours normal et les enseignements apprentissage se passent comme il se doit », a laissé Demba Thiam. Qui ajoute, que tout dépendra de la situation pandémique.
« S’il y a beaucoup de cas issus de transmissions communautaires, je ne pense pas qu’on peut travailler dans ces conditions. Mais, si tout est devenu normal, on va rejoindre les salles de classes. Il y a beaucoup de propositions qui ont été faites par les inspecteurs et syndicalistes. De toute façon, on attend le 02 juin pour voir la suite à donner pour sauver l’année scolaire », a expliqué le secrétaire national chargé des relations avec les institutions internationales du Saems.
la redaction
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager