Le Premier ministre Ousmane Sonko a brisé le silence et levé les ambiguïtés concernant son supposé différend avec le Président Bassirou Diomaye Faye. S'adressant aux députés lors de son face-à-face à l'Assemblée Nationale ce vendredi 28 novembre 2025, M. Sonko a catégoriquement démenti toute tension au sommet de l'État, annonçant une "bonne nouvelle" pour les militants et l'opinion nationale.
La clarification intervient après une période d'intense spéculation et d'interprétations diverses qui ont suivi les événements du 8 novembre, une date que le Premier ministre a qualifiée de "diafour national" (agitation nationale). "De très bons rapports" au sommet Profitant de la séance de questions-réponses avec les parlementaires, Ousmane Sonko a tenu à "éclairer la lanterne des Sénégalais" sur l'état réel de sa relation avec le Chef de l'État.
« Je veux que, quand je parle, on m’écoute bien. J’avais dit qu’il y aurait un avant le 08, un le 08 et un après le 08. Je pense qu’après le 08, il y avait un diafour national, » a-t-il déclaré, faisant référence à la vague de débats et de commentaires qui avaient secoué la sphère politique après ses annonces du 8 novembre.
Le message principal se voulait extrêmement rassurant pour les "patriotes" et l'ensemble de la nation : « Rassurez-vous, entre moi et le Président Bassirou Diomaye Faye, il y a de très bons rapports. Nous prenons ensemble les repas. Et je vous assure que nos rapports seront encore meilleurs dans les prochains jours. »
Cette insistance sur des relations personnelles et professionnelles solides vise à réaffirmer la confiance et la loyauté qui lient les deux hommes, piliers du projet souverainiste arrivé au pouvoir. Un message de stabilité institutionnelle Cette sortie médiatique met un terme aux interprétations alarmistes qui prédisaient une fissure au sein du duo dirigeant. La déclaration du Premier ministre est perçue comme un geste politique fort destiné à préserver l'harmonie institutionnelle, particulièrement cruciale alors que le gouvernement est confronté à d'importants défis économiques et sociaux.
En parlant de "très bons rapports" et d'une amélioration future, Ousmane Sonko envoie un signal clair de cohésion et d'unité d'action à la base militante, mais aussi à l'opinion publique nationale, avide de stabilité.
L'objectif est double : calmer les craintes des sympathisants qui redoutaient une déviation du cap fixé, et projeter une image de leadership soudé, essentiel pour la mise en œuvre des réformes promises. Ce "diafour national" semble désormais officiellement clos, laissant place à la concentration sur les affaires de l'État.
La clarification intervient après une période d'intense spéculation et d'interprétations diverses qui ont suivi les événements du 8 novembre, une date que le Premier ministre a qualifiée de "diafour national" (agitation nationale). "De très bons rapports" au sommet Profitant de la séance de questions-réponses avec les parlementaires, Ousmane Sonko a tenu à "éclairer la lanterne des Sénégalais" sur l'état réel de sa relation avec le Chef de l'État.
« Je veux que, quand je parle, on m’écoute bien. J’avais dit qu’il y aurait un avant le 08, un le 08 et un après le 08. Je pense qu’après le 08, il y avait un diafour national, » a-t-il déclaré, faisant référence à la vague de débats et de commentaires qui avaient secoué la sphère politique après ses annonces du 8 novembre.
Le message principal se voulait extrêmement rassurant pour les "patriotes" et l'ensemble de la nation : « Rassurez-vous, entre moi et le Président Bassirou Diomaye Faye, il y a de très bons rapports. Nous prenons ensemble les repas. Et je vous assure que nos rapports seront encore meilleurs dans les prochains jours. »
Cette insistance sur des relations personnelles et professionnelles solides vise à réaffirmer la confiance et la loyauté qui lient les deux hommes, piliers du projet souverainiste arrivé au pouvoir. Un message de stabilité institutionnelle Cette sortie médiatique met un terme aux interprétations alarmistes qui prédisaient une fissure au sein du duo dirigeant. La déclaration du Premier ministre est perçue comme un geste politique fort destiné à préserver l'harmonie institutionnelle, particulièrement cruciale alors que le gouvernement est confronté à d'importants défis économiques et sociaux.
En parlant de "très bons rapports" et d'une amélioration future, Ousmane Sonko envoie un signal clair de cohésion et d'unité d'action à la base militante, mais aussi à l'opinion publique nationale, avide de stabilité.
L'objectif est double : calmer les craintes des sympathisants qui redoutaient une déviation du cap fixé, et projeter une image de leadership soudé, essentiel pour la mise en œuvre des réformes promises. Ce "diafour national" semble désormais officiellement clos, laissant place à la concentration sur les affaires de l'État.