Par Amady Khalilou Dieme
OUSSOUYE – C’est un message de rupture avec le déséquilibre géographique que le Président Bassirou Diomaye Faye est venu délivrer dans le Kassa. Pour la dernière étape de son périple Casamançais, le Chef de l’État a choisi le terrain du concret : les infrastructures routières et l’assainissement urbain. À d'Oussouye, le constat est sans appel pour le locataire du Palais : le « avant/après » PROMOVILLES ne laisse aucun doute sur l’urgence de l’action.
« Le rééquilibrage n'est plus une option »
Visiblement satisfait de la qualité des ouvrages, Bassirou Diomaye Faye a martelé sa vision d’une justice territoriale. Pour lui, le contraste entre les centres urbains hyper-dotés et les localités périphériques comme Oussouye doit cesser. « L'accompagnement des collectivités et la réalisation d'ouvrages structurants n'est pas une option, mais une impérieuse nécessité », a-t-il déclaré avec fermeté.
Le Président a pointé du doigt un « retard infrastructurel très important » qui, selon lui, a longtemps étouffé le dynamisme de la région. En d’autres termes, pour libérer les énergies de la Casamance, l’État doit d’abord goudronner le chemin du développement.
Libérer le potentiel du Kassa
Au-delà de l'inspection technique, ce déplacement avait une forte charge symbolique. Le Président a reconnu que la Casamance, malgré son potentiel immense, stagnait faute d’investissements massifs. « Il est temps que ces énergies soient libérées », a-t-il lancé, confirmant que la politique de territorialisation des projets sera le fer de lance de son quinquennat.
L’oreille tendue vers les doléances
Malgré les avancées visibles, le maire d’Oussouye n’a pas manqué de rappeler que le chemin reste long. Besoins en santé, accès à l’eau ou extension du réseau électrique : les attentes des populations sont à la mesure de l’espoir suscité par le nouveau régime.
Loin de les balayer d’un revers de main, le Chef de l’État a assuré avoir prêté une « oreille attentive » aux revendications locales. La promesse est claire : Oussouye ne sera pas oubliée dans les prochaines phases de programmation nationale.
En quittant la Casamance, Bassirou Diomaye Faye laisse derrière lui une région qui ne veut plus seulement être « le grenier du Sénégal » sur le papier, mais une locomotive économique connectée et moderne. Le cap est fixé, reste maintenant à transformer ces « belles perspectives » en chantiers de demain.
OUSSOUYE – C’est un message de rupture avec le déséquilibre géographique que le Président Bassirou Diomaye Faye est venu délivrer dans le Kassa. Pour la dernière étape de son périple Casamançais, le Chef de l’État a choisi le terrain du concret : les infrastructures routières et l’assainissement urbain. À d'Oussouye, le constat est sans appel pour le locataire du Palais : le « avant/après » PROMOVILLES ne laisse aucun doute sur l’urgence de l’action.
« Le rééquilibrage n'est plus une option »
Visiblement satisfait de la qualité des ouvrages, Bassirou Diomaye Faye a martelé sa vision d’une justice territoriale. Pour lui, le contraste entre les centres urbains hyper-dotés et les localités périphériques comme Oussouye doit cesser. « L'accompagnement des collectivités et la réalisation d'ouvrages structurants n'est pas une option, mais une impérieuse nécessité », a-t-il déclaré avec fermeté.
Le Président a pointé du doigt un « retard infrastructurel très important » qui, selon lui, a longtemps étouffé le dynamisme de la région. En d’autres termes, pour libérer les énergies de la Casamance, l’État doit d’abord goudronner le chemin du développement.
Libérer le potentiel du Kassa
Au-delà de l'inspection technique, ce déplacement avait une forte charge symbolique. Le Président a reconnu que la Casamance, malgré son potentiel immense, stagnait faute d’investissements massifs. « Il est temps que ces énergies soient libérées », a-t-il lancé, confirmant que la politique de territorialisation des projets sera le fer de lance de son quinquennat.
L’oreille tendue vers les doléances
Malgré les avancées visibles, le maire d’Oussouye n’a pas manqué de rappeler que le chemin reste long. Besoins en santé, accès à l’eau ou extension du réseau électrique : les attentes des populations sont à la mesure de l’espoir suscité par le nouveau régime.
Loin de les balayer d’un revers de main, le Chef de l’État a assuré avoir prêté une « oreille attentive » aux revendications locales. La promesse est claire : Oussouye ne sera pas oubliée dans les prochaines phases de programmation nationale.
En quittant la Casamance, Bassirou Diomaye Faye laisse derrière lui une région qui ne veut plus seulement être « le grenier du Sénégal » sur le papier, mais une locomotive économique connectée et moderne. Le cap est fixé, reste maintenant à transformer ces « belles perspectives » en chantiers de demain.