Chronique. Ce vendredi 29 novembre, j’entame la marche avec un sentiment de solitude. Nous sommes seuls devant un pouvoir tenace. Face aux enjeux régionaux, nous sentons bien que nous touchons à beaucoup d’intérêts. Ça pue trop le fric. Il paraît que les multinationales affluent pour signer des contrats juteux dans le secteur des hydrocarbures. Ce putain de pétrole qui est une malédiction pour l’Algérie nous complique encore plus les choses. J’aimerais bien craquer une allumette et la foutre dans tous les puits. Comme ça, hop, on n’en parle plus !